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5 raisons de visiter le temple Wat Plai Laem à Koh Samui - Top 10 des visites (et activités)

Dernière mise à jour : 2 nov. 2021


Wat Plai Laem est pour moi le plus beau temple de Koh Samui, un must que je classe dans le TOP 10 des visites (et activités) à réaliser pendant votre séjour ou vos vacances à Koh Samui. Dans de prochains articles, je dévoilerai les autres et à terme, j'en proposerai le classement.

Dans cet article de blog, je donne 5 bonnes raisons pour lesquelles je suis touchée par ce site bouddhiste qui figure pour moi comme un haut lieu de l'architecture bouddhiste à découvrir, je partage une vidéo sur le temple Wat Plai Laem à Koh Samui, puis je décris cet ensemble architectural et son environnement, quelques notions de symbolisme, je témoigne de mon vécu lors des funérailles du défunt Roi RAMA IX, et enfin je rappelle quelques usages et règles pour la visite des temples bouddhistes.


5 raisons de visiter le temple Wat Plai Laem à Koh Samui

1 - La première raison est culturelle. Cet ensemble architectural permet une première approche du style thaïlandais (et chinois) et de la compréhension de l'organisation des différents espaces qui composent le temple.

2 - La seconde raison est forcément cultuelle. Parcourir le parc permet d'appréhender les bases du bouddhisme et d'apprécier ce lieu sacré tant pour sa sérénité que pour sa dévotion à la pratique du culte.

3 - La troisième raison est le lâcher-prise inspiré par ce lieu ressourçant, propice à la méditation, chargé de symbolisme.

4 - La quatrième raison vient du caractère bucolique apporté par l'environnement, le lac, les poissons, les lézards, les crapauds, la basse-cour...

5 - Si Wat Plai Laem inspire aussi pour ses couleurs et ses lumières, c'est un site hautement instagrammable s'il en est. Laissez aller votre créativité, de belles images à partager sur vos réseaux !


 

Vidéo


Je partage ici une visite guidée, un visite virtuelle en vidéo sur le temple Wat Plai Laem à Koh Samui ici




 

Wat Plai Laem. Temple bouddhiste à Koh Samui (Thailand) : un ensemble architectural et son environnement


Situé au nord-est de Koh Samui, à l'entrée de la péninsule de Choeng Mon (secteur résidentiel chic), près du célèbre Big Buddha, Wat Plai Laem est pour moi le temple le plus époustouflant de l'île. Chargé de symboles, de motifs et de sens incompréhensibles pour la plupart des occidentaux, ce temple bouddhiste de style thaïlandais et chinois est particulièrement coloré et inspirant : de loin, il ferait presque penser à un parc d'attraction. Il y a quelques années, des pédalos en forme de cygne permettaient de circuler sur le lac. Sans doute jugés trop ludiques pour ce lieu de culte, ils ont été supprimés.

Construit en 2004 autour et sur un lac, la décoration de ce temple a été confié à l'artiste thaï Khun Jarit Phumdonming qui a passé trois ans sur le projet en suivant les styles traditionnels, ce qui confert à ce temple cet air ancien.

C'est un lieu de culte actif, une résidence pour les moines, avec une école attenante. Je vous invite à tenir compte de ces recommandations lors de vos visites.

Les prières sont un moment de recueillement supplémentaire, le chant des moines apportant une atmosphère propre à la méditation. Voyez dans cette vidéo combien il apporte l'inspiration.


Comme souvent pour les sites bouddhistes, les entrées sont signalées par des portes qui sont elles-mêmes des architectures intéressantes. Celles de Wat Plai Laem sont de nombreuses voies d'accès, certaines viennent de faire l'objet de constructions nouvelles à découvrir en photos plus bas.


Ce temple abrite un ensemble d'architectures et de sculptures.

4 principaux espaces sont à visiter, la plupart depuis l'extérieur, à exception du temple couvert qui s'impose au centre, sur le lac qui rend ce lieu sacré encore plus bucolique, flanqué de part et d'autres de deux sculptures monumentales.


Sur la gauche, la sculpture géante de Budai affiche sa traditionnelle figure souriante -il est d'ailleurs également connu sous le surnom de « Bouddha rieur »-, son crâne chauve, ses oreilles aux lobes très longs -signe de haute spiritualité-, et son large ventre à l'air (je l'avais surnommé "Bouddha confortable" lors de mon tout premier séjour avec mon amie Floriane en Thaïlande en 2007 ; cette remarque ne manquera pas de la faire sourire). L'estomac était considéré dans la mythologie chinoise comme le siège de l'âme, et le large ventre de Budai peut être vu comme une allégorie de son grand cœur. Il serait potelé parce qu'il avalerait la souffrance des êtres sensibles. Il porte un sac de toile -budai en mandarin, duquel il a tiré son nom-, ainsi qu'un chapelet.

Quatre autres statues plus petites entourent celle de Budai : elles illustrent de puissants dieux hindous, un Brahma à quatre visages, un Siva à quatre bras avec un cobra autour du cou, un Vishnu à la peau bleue et un Indra à la peau verte, ou encore un Ganesh, le dieu éléphant. Prenez le temps d'observer toutes ces merveilles en photo, vidéo, ou lors d'un prochain séjour.


Au centre se trouve le temple principal couvert qui mérite un long moment de découverte tant son architecture comme sa décoration appellent à l'observation. On l'appelle aussi "salle d'ordination". Il semble flotter au-dessus du lac. À l'intérieur, au delà des statues de Bouddha dorées et du portrait du Roi, attardez-vous sur les peintures murales colorées qui ornent les murs, elles racontent les scènes clés de la vie de Bouddha.

La façade, le fronton, la superposition des trois toits, les murs extérieurs, orné de mosaïques, de boiseries colorées ou de petites figurines sculptées, forment un ensemble architectural unique tout autant qu'individuellement de petites scènes qui traduisent la culture bouddhiste. Attardez-vous sur la minutie des portes et volets : de magnifiques boiseries peintes ou sculptées, chacune présentant une saynète de la vie traditionnelle, symbolique ou cultuelle asiatique.


Vous l'aurez aperçue bien avant d'arriver sur le site : sur la droite, l'immense statue de Guanyin et ses 18 bras s'impose. Elle impressionne par son symbolisme et ses 15 mètres de haut. On y accède par une longue passerelle en tuiles. On l'appelle Kuan Yin ou Guanyin -celle qui écoute les plaintes du Monde-, elle est aussi connue en Thaïlande sous le nom de Chao Mae Kuan Yin. Cette déesse d'Asie de l'est est une identité d'Avalokitésvara (branche du bouddhisme). Dans les croyances bouddhistes, on dit qu'elle est dotée de compassion et de miséricorde infinies. Les traits du visage épicènes* (*sans genre affirmé), la tête couronnée, chacun de ses 18 bras contient un outil que Kuan Yin utilise pour soulager la souffrance des êtres sensibles. Sa jambe droite repose sur un siège de lotus tandis que la gauche marche sur le dos d'un dragon censé la transporter sur l'océan pour soutenir les marins naufragés. Dans la tradition bouddhiste, elle est un bodhisattva (un être éveillé). Le vœu du bodhisattva chez les bouddhistes Mahayana est d'atteindre l'illumination complète pour le bien de tous les êtres sensibles. La déesse a commencé son travail en tendant la main pour aider tous ceux qui souffraient. La légende raconte que leurs besoins étaient si grands qu'elle en eût les bras brisés. Bouddha Amithaba lui a alors donné mille bras pour qu'elle puisse aider le plus grand nombre.


La 4e construction à observer est le temple qui semble le plus ancien, qui date pourtant également de 2004, pour sa toiture remarquable : une superposition de toits et de détails architecturaux, de mosaïques des boiseries et sculptures colorées, colonnes et statues couvertes.

Dans le parc autour des statues géantes, se trouve également une autre statue de laïcs vêtus de vêtements blancs qui poussent une roue du Dharma derrière un moine. Elle symbolise l'interconnexion entre les laïcs et la communauté monastique du bouddhisme Theravada, la plus répandue en Thaïlande. En effet, à chaque temple correspond une communauté laïque qui s'investit pour l'entretien du site comme pour la célébration des rendez-vous cultuels réguliers.


En explorant le temple, vous trouverez aussi quelques crapauds lovés dans fontaine, quelques oiseaux, pigeons et autre basse-cour en liberté, et quelques aigles maintenus en cage dans des conditions discutables.

Dans l'enceinte du temple, sur le côté gauche, d'autres bâtiments sont réservés au culte (crématorium, salles,...), une empreinte du pied de Bouddha est lové au centre du parc sous les arbres.


Les Thaïlandais et touristes qui visitent Wat Plai Laem achètent des croquettes pour poissons (10 THB). C'est ainsi que d'énormes poisson-chat et quelques lézards prospèrent dans le lac, à la grande joie des petits et des grands. Considérez-cela comme une offrande, appelée "tam boon",à moins d'acheter une tuile qui sera conservée au temple, pour y écrire un message, à moins de préférer célébrer le bouddha correspondant à votre jour de naissance en lui déposant une petite pièce en formant votre vœu. En effet, un bouddha et une couleur sont associés à chaque jour de naissance dans la culture bouddhiste et il est de tradition de prier prioritairement le Bouddha du jour de sa naissance. Chacun des huit bouddhas est présenté suivant une posture. La nuit du mercredi est en effet représentée par un 8e bouddha. Pour en savoir plus sur la symbolique, la suite de cet article apporte quelques éclairages.

Les 8 bouddhas recueillent donc prières et offrandes, vous les trouverez entre Budai et le temple couvert au temple Wat Plai Laem.


Vous ne savez pas quel est le jour de votre naissance ? Recherchez ici.

Moi c'était un samedi. Le Bouddha qui correspond au samedi est représenté en position de méditation profonde, assis sur un serpent enroulé (le roi des nagas) qui se dresse pour le protéger, avec ses 7 têtes, sous le vent et la pluie de la tempête qui fit rage pendant 7 jours. Ce Bouddha ignore le tumulte, soulevé au-dessus des vagues par le naga (serpent), considéré par les bouddhistes comme un gardien et un protecteur, médiateur entre ciel et terre, entre ce monde et l’au-delà.


 

La symbolique des couleurs associées aux 8 Bouddhas et aux jours de la semaine


Concernant les postures et représentations des 8 bouddhas, cet article pourrait répondre à vos interrogations.


La symbolique des Bouddhas et des couleurs pour chaque jour de la semaine répond à un certain nombre de codes, d'us et coutumes en Thaïlande.

Chaque couleur est associée au Bouddha qui protège le jour de la semaine considéré.

La couleur du jour de la naissance du Roi du Royaume de Thaïlande devient couleur Royale ; porter cette couleur est un signe de respect et de loyauté envers le roi. Sa Majesté le défunt Roi Bhumibol Adulyadej (Rama IX) est né le lundi 5 décembre 1927, le pays était traditionnellement décoré de jaune le lundi. Son fils et successeur, le Roi Maha Vajiralongkorn Bodindradebayavarangkun (Rama X), né le 28 juillet 1952 , également un lundi, la couleur royale est restée la même. La Reine Sirikit Kitiyakara, est née le vendredi 12 août 1932. Le vendredi, Thaïlandais et les drapeaux du pays arborent la couleur bleue.

En Thaïlande, le roi est considéré comme le père du royaume, et la reine comme la mère du royaume : c'est ainsi que la fête des pères est célébrée le jour de l’anniversaire du Roi, et la fête des mères, le jour de l’anniversaire de la Reine.



Voici les couleurs auxquelles sont associées chaque jour :

  • Lundi : jaune (dieu Chandra)

  • Mardi : rose (dieu Mangala)

  • Mercredi en journée : vert (dieu Budha)

  • Mercredi soir – après minuit et avant l’aube: le bleu foncé

  • Jeudi : orange (dieu Brihaspati)

  • Vendredi : bleu ciel (dieu Shukra)

  • Samedi : violet (dieu Shani)

  • Dimanche : rouge (dieu Surya)

Vous ne savez pas quel est le jour de votre naissance ? Recherchez ici.


Si vous vous intéressez au bouddhisme, je vous invite à consulter le petit lexique détaillé ici.

 

Les funérailles du défunt Roi RAMA IX


J'ai eu l'immense honneur de participer aux funérailles du défunt Roi Rama IX célébrées le 26xoctobre 2017 au temple Wat Plai Laem de Koh Samui.


Sa Majesté le défunt Roi Bhumibol Adulyadej (Rama IX), né le 5 décembre 1927, est décédé le 13xoctobre 2016 à l'âge de 88 ans. Un deuil d'un an a été décrété et observé dans toute la Thaïlande. Partout étaient présentés, dans les administrations, dans les établissements scolaires, les banques, les centres commerciaux, et bien sûr les temples, des autels ornés de décors blanc et noir autour de la photo du Roi. Depuis son décès, son corps était conservé au palais royal.

Le 26 octobre 2017, la dépouille du roi Bhumibol Adulyadej, dit Rama IX, fût honorée lors de grandioses funérailles royales à Bangkok, mais aussi partout dans le pays. Le jour a été déclaré férié.

La cérémonie était organisée au Wat Plai Laem à Koh Samui, le plus grand temple de l'île, et a rassemblé tous les Thaïlandais et nombreux fidèles, tous habillés de noir. Tous étaient en effet présents, les entreprises avaient donné congé pour se faire, même les Seven-Eleven habituellement ouverts 24h/24 fermaient à 16h pour permettre à chacun de participer aux funérailles.

Une organisation parfaite accueillait les personnes venues se recueillir et s'agenouiller dans cet ultime hommage à ce Grand Homme.

Pour répondre parfaitement aux règles imposées pour être autorisé à rejoindre ces funérailles royales très règlementée, un vestiaire prêtait des vêtements noirs pour compléter votre tenue. C'était en 2017. Je ne connaissais pas beaucoup de Thaïs à ce moment-là. Je me suis présentée à 8h, seule, vêtue de ce qui me semblait noir et correct. Refoulée à deux endroits, peut être parce que j'étais étrangère mais surement parce qu'ils ne voulaient pas de touristes ou de voyeurs, j'ai convaincu le comité d'organisation à la troisième porte, non sans que la milice chargée de vérifier ma tenue ne m'ait invitée à passer par le vestiaire pour la compléter. Par exemple, les pieds devaient être couverts, les jupes dépasser le genoux. Après environ 1h30 d'attente pour mon tour -nous étions en fait des centaines à devoir améliorer notre présentation-, j'étais parée de chaussures couvrantes et d'une jupe longue posée sur ma robe jugée un peu trop courte pour le contexte. Je ne parlais pas un mot de thaï, ceux qui m'entouraient pas un mot d'anglais, je tentais de comprendre l'organisation rigoureuse en place.

Nous devions alors rejoindre le cortège, se ranger les uns à la suite des autres pour attendre le moment de s'incliner devant la photo du défunt Roi.

Une première queue debout rassemblait plusieurs centaines de participants. Pas question de se faufiler pour resquiller. Chacun respectait consciencieusement cette organisation ordonnée.

Les personnes étaient sous de grandes tentes protégeant un peu du soleil mais pas de la chaleur, assises par groupe d'une cinquantaine, se déplaçant d'un barnum à l'autre suivant une cadence séquencée par l'avancée des groupes. Quitter la file vous aurait imposé de reprendre au début. Nous étions des milliers sous des dizaines de tentes et barnums. Un comité d'organisation nous guidait pour nous orienter de l'un à l'autre. De l'eau et de la nourriture circulait pour que personne ne soit malade, des mouchoirs imbibés de camphre aussi, pour éviter les malaises. Des infirmières étaient là. Tout était savamment orchestré.

Après plus de 3 heures à se déplacer ainsi en se rapprochant peu à peu de l'autel où avait été dressé la photo géante du défunt Roi et la retransmission en direct des funérailles royales célébrées à Bangkok, j'ai pu observer comment semblait s'organiser l'ultime moment de se prosterner devant lui. Le comité d'organisation veillait une dernière fois à votre tenue, nous devions laisser tous nos effets ; j'ai senti le symbolisme de la pureté venant se présenter au roi, suivant 9 rangées de 9 personnes alignées. Je ne connais hélas pas la signification de cette règle. On a confié à chacun une fleur à présenter en offrandes, s'inclinant et s'agenouillant à la fois, dans un silence religieux et un alignement presque militaire. C'était très solennel. Vraiment très émouvant.

Chacun a reçu à la fin de cette cérémonie en gage de sa participation, un document jaune -aux couleurs du Roi- exposant ses plus grandes réalisations. Je l'ai gardé précieusement.

Après cela, j'ai pris la direction du vestiaire pour restituer ce qui m'avait été prêté, encore un peu troublée par la solennité, la chaleur et la durée (plus de 5h) de cette célébration.


On dit que plus de 100.000 fidèles ont participé ici à ces funérailles. Je considère comme un privilège d'avoir pu me mêler à ce recueillement, même si bien sûr je me suis interrogée au cours de cette journée, parfois dévisagée mais aussi accueillie par ceux qui m'entouraient qui voyaient bien ma motivation, étais-je bien à ma place parmi les Sujets du Royaume, n'ayant pu compter pas plus de 4 ou 5 autres "farang" (étrangers) parmi l'assistance. Pour autant, j'avais envie de m'associer à eux, en reconnaissance à ce Grand Roi et à ce pays qui m'accueille.


C'était un moment réellement émouvant.

C'est sans doute aussi pourquoi Wat Plai Laem résonne en moi toute la majesté du bouddhisme et de ce lieu sacré.

 

Mes recommandations pour la visite des temples bouddhistes à Koh Samui (Thaïlande) :


Les temples sont des lieux sacrés, Soyez respectueux de la culture thaïlandaise en vous habillant de manière appropriée pour ne pas offenser les pratiquants.


1. Un temple est un lieu de prière et de recueillement, silence et discrétion sont donc de mise. Evitez de vous enlacer, de vous embrasser, et de fumer.


2. Epaules, genoux et ventre doivent être couverts. Pour les femmes, pas de décolleté ou hauts transparents. Pour une bénédiction par un moine, vos pieds doivent rester orientés vers l'arrière. Je vous recommande d'avoir toujours avec vous un paréo.

Parfois, des paréos ou kimonos sont prêtés mais pas toujours.


3. Respecter les panneaux qui régulent l'accès aux différents bâtiments. Certains espaces sont réservés aux hauts dignitaires. Retirer vos chaussures avant de pénétrer dans un temple. Parfois une paire de chaussettes peut être utile quand le sol est chaud.


 

Ce lieu n'a pas été gagné par l'attrait du tourisme de masse, contrairement au temple du Big Buddha. Un seul petit commerce et café propose quelques bibelots ou offrandes propres au culte bouddhiste. Vous pouvez utiliser votre appareil photo, cela ne dérange personne ici que vous preniez des photos, pour autant que vous ne dérangiez pas les personnes venues prier. Vous y trouverez des toilettes où la petite pièce était la bienvenue avant le Covid, et un parking gratuit.


Si vous vous intéressez au bouddhisme, je vous invite à consulter le petit lexique détaillé ici.


 


Horaires : 8h - 17h.

Tarif : gratuit, toutefois une donation est toujours la bienvenue pour entretenir ce lieu.

Adresse : Wat Plai Laem, Road 4171, Thailand.

Distance depuis Baan Sawadee villa : 20 minutes



 



 

Sources principales :

Bouddhisme : https://temple-thai.com/articles/petit-lexique-a-parcourir/ et Bouddhisme et symbolisme, les huit Bouddhas de la semaine https://bit.ly/SymboliqueBouddhaJourSemaine


Guanyin : https://www.britannica.com/topic/Avalokiteshvara



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